Un langage silencieux se faufile dans une jungle faussement festive, une traversée nord-sud mêlant constat post-colonisation, critique d’une quête consumériste et de la glorification des apparences. Le macabo, plante chérie par l’artiste, très peu considérée mais pourtant consommée quotidiennement dans les régions d’Afrique dans lesquelles il intervient, est le fil conducteur de cette exposition.
Ces peintures traduisent la démarche artistique et sociale de l’artiste : essayer d’être un humain et de le comprendre.
Exposition du 24 mai au 30 juin
Accès libre, 3, rue du Moulin à Tan
Lundi : 10 h – 17 h
Mardi : 13 h – 18 h
Mercredi et jeudi : 10 h – 18 h
Vendredi : 13 h – 17 h
Samedi : 10 h – 12 h 30 et 14 h – 17 h